Il n’y a pas de petite lutte ! Comme aimait à le répéter Dédé Machelard, un vieux militant. J’étais jeune ouvrier monteur en équipe lourde, des idéaux plein la tête, je ne pensais qu’au grand soir et Dédé qui avait connu la résistance et toutes les grandes luttes d’après guerre nous disait que le combat pour une paire de chaussure est aussi important que celui de la sécu.